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    Chronicles of Fire and Steel est une uchronie basée sur les ouvrages de George R. R. Martin. Actuellement, nous sommes en An 132, lune 4, 1ère moitié de la lune et notre zone de jeu s'étend de Westeros à Essos. Le forum est interdit aux moins de 16 ans. Dans le staff, vous trouverez trois administrateurs : Aelix, Rhaenyra et Baela. Pour les accompagner, une équipe de choc avec deux modérateurs : Mysaria et Daemon; ainsi qu'une animatrice : Rhaenar. [Staff]
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    Moredo Rogare
    Moredo Rogare
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    Âge du Personnage : 25 ans.
    Messages : 3

    Moredo Rogare

    ft. Austin Butler


    Royaume et lieu de naissance : Dans la cité de Lys la belle. Comme ses nombreux frères et sœurs, il voit le jour au sein du luxueux Palais familial.
    Titre de noblesse : Fruit d’un lignage préservé méticuleusement, c’est un Aristocrate lysien de la lignée Rogare.
    Âge : 25 ans.
    Statut marital : Célibataire qui compte le rester encore longtemps, mieux vaut profiter de ce que les femmes peuvent lui offrir sans la moindre culpabilité.
    Localisation : À peine rentré à Lys après son excursion auprès des Volantains, le voilà déjà reparti en mer pour rejoindre sa sœur à Peyredragon.
    Faction choisie : Les Verts étant leurs alliés actuels, leurs intérêts deviennent les siens.
    Arbre généalogique :  Lysandro Rogare (père) ; Helaenys Rogare, née Saan (mère) ; Lysaro Rogare (frère aîné) ; Fredo Rogare (2e frère, aîné) ; Drako Rogare (3e frère, aîné) ; Lotho Rogare (4e frère, cadet) : Roggerio Rogare (5e frère, cadet) ; Lysara & Marra Rogare (sœurs jumelles et cadettes) ; Larra Rogare (sœur benjamine) ; 16 frères et sœurs bâtards, nés des adultères de Lysandro ; Drazenko Rogare (oncle paternel).
    Mantra : "Inébranlables dans le devoir et la prospérité, sur le chemin d'or et de soie"; cependant, les médisants lui préfèrent "L'orgueil, démesurément; la gloire, énormément; l'honneur en dernier lieu, s'il leur en reste un peu".
    Crédits : rathmore.

    Caractère

    L’enfant qui rêvait de ressembler aux chevaliers et guerriers de ses contes préférés n'est plus, mais il a laissé sa trace dans le comportement du jeune adulte. Ses valeurs ne sont pas entièrement pures, mais il n’en reste pas moins chevaleresque. S’en prendre à ceux qu’il considère comme plus faibles ou refuser d’aider une personne dans le besoin... ce sont là des choses impensables pour lui. ⋆ Sa famille, tout comme les personnes qu’il aime et porte dans son cœur, sont sous sa responsabilité. S’il leur arrivait quelque chose, jamais il ne se le pardonnerait. Mais il ne souhaite pas non plus empiéter leur espace personnel, tout comme il n’aimerait pas qu’on empiète le sien. Ce côté protecteur, il l’assume, mais il ne s’en sert pas comme justification pour agir de façon irréfléchie ou imposer aux autres ce qu’ils doivent faire. ⋆ Quand il promet, il tient parole ; quand il jure, il veille à le faire avec sincérité. Trahir la confiance des autres, pour lui, c’est se trahir soi-même. Malgré les préjugés que certains nourrissent envers les siens, sa loyauté est sans faille, c’est pour cette raison qu’il s’assure de ne pas promettre à n’importe qui. ⋆ Si Moredo a appris une chose sur le champ de bataille, c’est que la pitié envers ses ennemis ne peut exister. Certains en profiteraient pour s’en servir comme d’une arme, alors il se doit d’être impitoyable, tant à la guerre que dans la vie. ⋆ Depuis son dernier voyage à Volantis, il refuse qu’on s’empare de son cœur comme cela a déjà pu se produire. Il est donc volage et infidèle en amour, mais il se rassure en se disant qu’il n’a de comptes à rendre à personne, lui. ⋆ C’est un fait, Moredo aime jouer autant qu’il déteste perdre. Grand joueur, il mordra assurément à l’hameçon si vous le défiez. ⋆ Dans son regard se lit une assurance qui frôle l’arrogance. Trop souvent sûr de lui et de ce qu’il accomplit, à l’avenir, cela pourrait lui porter préjudice...

    Anecdotes

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    L'épopée jusqu'à présent

    An 107 : Comme bien des unions de leur époque, celle de Lysandro Rogare et d'Helaenys, née Saan, ne fut pas fondée sur l'amour ni le respect. Pourtant, elle n'en fut pas moins fructueuse. Nombreux sont les Rogare qui se pavanent dans les ruelles de Lys la belle, reconnaissables entre mille malgré les traits Valyriens typiques qu’ils partagent avec les habitants de leur cité. Ces orbes dont la couleur rivalise avec la plus précieuse des améthyste, leur chevelure aussi dorée que la monnaie qui afflue dans leur banque, et cet air hautain qui les caractérise si bien... Des yeux perçants qui ne vous voient pas pour ce que vous êtes, mais pour ce que vous pouvez apporter : voilà le véritable sceau des Rogare. Bâtards reconnus comme enfants légitimes, le patriarche leur a, dès leur plus jeune âge, inculqué l’art de tirer profit de leur prochain pour apporter avantages et profits à leur famille, et ça avant toute autre chose. Moredo Rogare, né sous la douce brise maritime de Lys en l’an 107, seulement quatrième de cette longue lignée, a pu échapper à bien des responsabilités qui n’ont pas épargné ses aînés, mais pas à cette éducation ni à l’ambition qu'elle a forgée en chacun d'eux.

    Ans 107 — 114 : Très tôt, son manque d’intérêt pour les jeux de pouvoir se manifeste. Le garçon se passionne pour un tout autre domaine, qui forge en lui des valeurs contrastant avec celles de nombreux Lysiens. Les contes et légendes de preux chevaliers ou de guerriers aux mille et une aventures, libres de voyager là où le vent les guide, le captivent. Moredo nourrit l’espoir de devenir un jour le héros de ces récits : le guerrier qui terrasse les ennemis de sa cité, le chevalier qui sauve sa belle... Mais à Lys, un autre type de combat se joue. Rares sont les querelles qu’on règle par l’épée plutôt que par les mots. Étonnamment, son père, pressentant peut-être un potentiel à ne pas étouffer, n’écrase pas les idéaux de son fils — aussi enfantins soient-ils. Au contraire, il lui fournit les outils nécessaires pour poursuivre cette voie. Il est soutenu, non seulement par son père, mais aussi par son grand-père maternel, charmé par cette force que Moredo manifeste déjà et les efforts qu’il déploie pour suivre cette voie.

    Il ignore encore tout des intrigues complexes qui se jouent autour de lui et du conflit grandissant, mais aspire à plus. Trop jeune pour vivre ses propres aventures, le jeune Rogare redouble d’efforts pour être le protecteur de ses cadets, et tout particulièrement des jumelles qu’il affectionne profondément. C’est un double miracle, qui n’est pas perçu comme tel par sa mère, sur lequel il veille attentivement et férocement. Sans jamais les étouffer, car plus que tout, il souhaite qu'elles soient aussi libres qu'il rêve lui-même de l'être. Contrairement à son jeune frère Roggerio ou a lui, il sait que leur condition ne leur permettra jamais cette liberté. Le destin de Lysara et de Marra sera façonné de manière à apporter les meilleurs avantages à la famille, mais elles pourront malgré tout vivre comme bon leur semble. Moredo se le promet.

    Dans les allées de Lys comme dans le palais familial, impossible de manquer les nombreux bâtards que son père sème dans la cité à chaque nouvelle escapade. Le traitement qu'il offre à sa progéniture « illégitime » surprend bien des Lysiens, qui rient de sa mère — tandis que Moredo observe ce spectacle sans intérêt particulier. Grâce à Lysandro, la vision qu’il se fait d’un bâtard est similaire à celle qu’il se fait d’un enfant légitime. Tous ont un rôle dans les desseins de leur père, bien que certains de ses demi-frères et demi-sœurs lui soient plus chers. Le lien qui l’unit à chacun diffère, tout comme leurs rapports, mais tous portent le nom de Rogare et partagent son sang, alors jamais il ne les reniera.

    An 118 : ien que plus proche de son grand-père maternel, la mort de Lazaryo Rogare l'affecte tout de même. Mais il ne porte aucun intérêt à la succession, se sentant peu concerné par ces histoires de prédécesseurs et précession. Lorsque de nouvelles responsabilités pèsent sur son père et ses aînés, que l’on s’interroge sur la voie à suivre pour défendre les intérêts de la famille et sur les mystères entourant la mort de Lazaryo, Moredo, lui, en profite pour noyer son chagrin en se plongeant davantage dans les arts et les enseignements qui l’intéressent réellement. Avec l’aide de son grand-père Saan, il perfectionne son maniement des armes, fournissant le moindre effort pour les apprentissages qui éveillent moins sa curiosité — notamment l’étude de la langue commune, qu’il rechigne à apprendre. S’il ne peut protéger les siens par la ruse et l’intellect, il doit au moins s’assurer de pouvoir le faire par la force.

    An 119 : Prendre la mer ne lui est désormais plus inconnu, car les occasions d’embarquer sur les navires lysiens se sont présentées maintes fois, et il les a toutes saisies. Mais jamais encore Moredo ne s'était aventuré aussi loin, pour une formalité aussi importante. C’est une grande première pour le jeune aristocrate, qui attend son voyage vers Harrenhal avec autant d’impatience que l’événement qui doit s’y tenir. L’image qu’il se fait de Westeros est peu flatteuse, mais cela reste une nouvelle occasion de découvrir des choses qui lui sont encore inconnues et qui l’intriguent malgré ses préjugés — fondés ou non. Au-delà des paysages qu’il trouve fades en comparaison avec ceux de sa cité, et des chevaliers qui ne ressemblent en rien à ce que les récits rapportent à leur sujet, c’est surtout la fierté du Rogare qui est mise à mal lors de ce voyage. Ne parlant pas un mot de la langue commune, cette barrière l’isole, rendant tout dialogue impossible ; non qu’il en ait réellement envie, au vu du comportement déplorable des Ouestriens qu’il croise. C’est ici aussi que le chemin du suzerain de Peyredragon, Aegon II Targaryen, et le sien s’entremêlent. Cette première rencontre est loin d’être agréable, pour l’un comme pour l’autre, malgré leur âge commun, qui aurait pu les rapprocher. Tous deux reprennent finalement leur route respective avec un mauvais souvenir de cette brève rencontre et de l’autre. Il retient de Harrenhal et sa foire une seule certitude : sa place ne se trouve pas de l’autre côté du Détroit.

    Ans 122 — 125 : Volantis laisse une toute autre impression au jeune homme, et se grave a jamais dans son esprit. En dépit des tensions qui persistent et du passé trouble que les deux cités ont en commun, Moredo ne peut s’empêcher d’être charmé par la première fille de Valyria. Pourtant, les raisons de son voyage ne sont pas propices aux divertissements. C’est le décès de Darko, son arrière-grand-père, qui le pousse a tracer son chemin jusqu’ici, aux côtés de son oncle Drazenko, accompagné des jumelles Lysara et Marra qui voyagent clandestinement. Différente de l’expérience désastreuse de Harrenhal, le Rogare cède inévitablement a la tentation et s’amourache secrètement d’une Volantaine. Pas n’importe laquelle qui plus est, puisque la demoiselle est de celle qu’il ne peut pas toucher, appartenant à la noblesse de Volantis. Pour un nombre incalculable de raisons, cette relation ne doit pas voir le jour, mais l’un comme l’autre cède. Cette expérience, bien que courte, n’est pas pour le moins marquante. Et lorsque la brise de Lys se fait ressentir et que la mer les appelle pour reprendre les voiles et rentrer, Moredo se retient de lui dire mille et une chose. Par fierté, mais aussi par devoir, car il est conscient de l’erreur qu’il a commise et de ce qu’elle pourrait leur couter. Alors, il abandonne Volantis, avec une pointe de regret amer et sans son coeur, qui reste entre les mains de la Volantaine.

    Après avoir goûté à l’interdit et aux voyages qui marquent les esprits, Moredo ressent une soif que l’oisiveté ne peut étancher. Il profite des excursions commerciales menées par la flotte Rogare pour embarquer aussi souvent que possible, à la chasse de ce qu’il a pu ressentir à Volantis. Tous les recoins d’Essos sont explorés, et le Lysien ressort transformé de ces voyages, qui le forgent en un homme assuré et confiant — trop même. Le jeune garçon rêvant d’aventures n’est plus ; c’est désormais à lui de tracer son propre chemin, et il n’attend que cela. D’autant plus qu’il se tient souvent aux côtés de Drazenko, dont il se rapproche en très peu de temps. Les deux partagent un intérêt commun : l’art du combat et de l’épée. Son oncle possède l’expérience qui manque encore à Moredo, un atout précieux et non-négligeable pour compléter son éducation. C’est avec avidité qu’il s’empare des enseignements du Rogare plus âgé et aguerri souhaitant toujours en découvrir plus, et qu’il excelle dans ce domaine qui semble lui être prédestiné. Mais cette liberté est illusoire, Moredo ne l’oublie pas. Lorsque le moment viendra et que Lysandro déplacera le pion qu’il représente pour faire avancer la partie à leur avantage, il se pliera sans hésitation et agira avant tout dans l’intérêt de sa famille.

    Malgré le temps qui passe, il n’oublie pas celle qui hante encore ses pensées, et se surprend parfois à souiller des parchemins vierges pour écrire des missives qui ne seront jamais envoyées. C’est auprès de Lysara qu’il se réconforte, en lui partageant ce secret qui le ronge, elle est la seule a qui il peut et veut en parler.

    An 126 : Les regrets sont rares dans la vie du Lysien, qui s’efforce de réaliser ses désirs pour ne leur laisser aucune place. Mais ne pas avoir accompagné Lysara et Marra, faillir à la mission qu’il s’était promis d’accomplir, en est un. Moredo ne sait pas à qui en vouloir le plus. À son père, pour les avoir envoyées à Westeros alors que les tensions montent, l’inévitable se produisant alors qu’elles sont là où personne ne peut veiller sur elles ? Ou à son frère, Lysaro, en qui il perd le peu de confiance qu’il a à son égard après être mis au courant de sa fuite ? Forcé d’admettre que c’est surtout à lui-même qu’il en veut. Pour ne pas avoir su être présent, pour avoir laissé le navire quitter le port sans intervenir.. Il ne saurait dire ce qui l’a poussé à ne pas les accompagner, si ce n’est des raisons puériles qui ne justifient en rien son absence auprès de Lysara, mais il ne souhaite plus ressentir ce sentiment d’impuissance. Cette obligation de rester immobile alors qu’il sait devoir agir. Cette rancœur, il la dirige contre les Ouestriens, afin de ne pas s’accabler lui-même ainsi que les siens. La blessure reste béante, mais Moredo se promet qu’un tel incident ne se reproduira pas tant qu’il sera en vie, encore assez naïf pour croire que la guerre tient compte des promesses.

    Est-ce pour apaiser la rage et les ardeurs de son fils que le patriarche Rogare se décide à lui remettre une relique d’une valeur inestimable ? Impossible de le dire, ses actions ne pouvant être comprises que de lui, mais c’est le moment qu’il choisit pour lui remettre Vérité — son épée en acier valyrien. D’où vient-elle, pourquoi la lui donner maintenant et pas avant… Lorsqu’il la lui remet entre les mains, aucune de ces questions ne traverse l’esprit de Moredo. Peut-être s’agit-il d’une énième machination de son père pour garder chaque pion à sa portée, mais il s’en moque. Ce n’est pas la rareté de son matériel ou la difficulté de sa conception qui lui confère son importance aux yeux du jeune homme, mais la reconnaissance et le soutien tacite que son père lui transmet durant cette épreuve — du moins, c’est ainsi que Moredo souhaite l’interpréter.

    Ans 127 — 130 :La guerre dans les Degrés de Pierre éclate finalement, opposant Westeros à la Triarchie. Sans la moindre hésitation, Moredo rejoint les troupes armées pour défendre ce qui, à ses yeux, leur revient de droit. La bataille est rude, les atrocités trop fréquentes. Le conflit dépasse les Degrés de Pierre, impactant tout Essos et pas uniquement les Trois Sœurs. Sa fierté lui impose de ne pas faillir, et bien qu’il brille autant par ses qualités de combattant que de stratège, l'issue sera néanmoins défavorable pour eux. Cette défaite, le Rogare la prend personnellement. Bien qu’il se dise partisan de la paix, une part de lui a du mal à oublier ce premier échec cuisant, cette sensation d’avoir touché du bout des doigts son plein potentiel sans pouvoir réellement l’atteindre. Cette part plus sombre réclame réparation, et s’il n’est qu’un soldat parmi tant d’autres, le sentiment d’avoir failli à sa cité et à sa famille reste présent. Peut-être encore trop fougueux et désireux de prouver sa valeur, il ne voit pour l’instant que le verre à moitié plein.

    La faute au chagrin qui l’accompagne tout au long de la guerre et qui ne l’aide pas non plus a avoir les idées claires. Son dernier voyage à Volantis n’a pas pansé les blessures du jeune homme comme il l’espérait ; au contraire, il en a laissé d’encore plus profondes. S’il s’y est rendu pour affaires et discuter d’une possible alliance, il n’a pu résister à l’envie de rendre visite à son ancienne amante, découvrant ainsi, juste avant la guerre, qu’il est désormais père. Le mot "père" reste cependant trop grand, car il n’a pas pu revendiquer ce rôle comme il l’aurait souhaité, ni les ramener tous deux à Lys pour assumer son premier fils, comme son propre père l’aurait fait avec chacune de ses amantes. Moredo arrive trop tard : la Volantine est mariée et son enfant déjà assumé par un autre homme. C’est un rôle qu’on lui arrache, il aimerait la convaincre de le suivre, mais il ne peut s’attarder plus longtemps, pas alors que sa cité et famille se font sauvagement pillées par les Fer-nés qui profitent du conflit et du chaos instauré par la guerre pour agir. Pour la première fois, il retourne à Lys, le cœur lourd.

    Le seul aspect positif qu’il retire de ces années de conflit est sa rencontre avec Qyle Martell. Elle se fait contre son gré, Moredo ne souhaitant pas quitter le champ de bataille, encore moins pour s’occuper d’un gamin, mais cette rencontre le marque profondément. C’est par devoir et parce qu’il doit à la famille Martell le sauvetage de ses soeurs qu’il accepte de devenir le mentor de Qyle ; cependant, ce n’est pas le devoir qui le pousse à s’attacher à lui, mais quelque chose de plus profond. Un instinct qu’il ne peut maîtriser. Il n’est pas le seul à partager ses connaissances et son expérience avec son cadet, a qui il enseigne ce que son oncle et grand-père maternel lui ont enseigné avant lui. C’est à l’aide de Qyle qu’il daigne finalement apprendre la langue commune, bien que son niveau reste bien loin de celui de n’importe quel aristocrate lysien l’ayant étudié dès son plus jeune âge. Moredo se sent redevable envers le garçon et sa famille, tant pour le soutien apporté à ses sœurs que pour leurs échanges. Ses a priori et préjugés envers les Ouestriens ne changent pas, mais cette rencontre lui permet de découvrir une nouvelle facette de ces lointains voisins.

    An 131, Lune 11 : La guerre impacte temporairement l’économie de la Triarchie, mais très vite, les routes commerciales sont rétablies et les alliances renégociées. On pourrait croire que rien de tout cela ne s’est produit, si la fracture entre le Détroit ne se faisait pas autant ressentir. Moredo, grâce à ses prouesses durant la guerre, a pu se faire un nom au sein de la Triarchie. Si le jeune garçon qu’il était en aurait été fier, l’adulte qu’il est devenu ne souhaite pas se contenter de cela. Désormais, il est un homme qui sait ce qu’il veut et où il va — et qui passe d’autant plus de temps à fréquenter le Jardin Parfumé de Lys, toujours en compagnie de femmes au profil similaire, à la silhouette svelte et à la chevelure ivoire. Peut-être le fantôme de son ancienne amante hante-t-il encore son esprit, mais ce nouveau voyage à Volantis ne le poussera pas à chercher de nouveau les bras de la belle. Les nombreuses missives restées sans réponse lui ont fait comprendre qu’insister ne mènerait à rien. Il laisse à Lysara le soin de voguer selon ses désirs, mais lui n’est là que pour affaires ; c’est pour cette raison qu’il ne la raccompagne pas à Lys et qu’il s’y attarde.

    An 132, Lune 3 : S’il pensait que sa famille resterait à l’écart du conflit et des intrigues de Westeros, c’était sans compter sur l’appétit de pouvoir du patriarche Rogare, qui les force à prendre part au jeu. Le retard du retour de son navire, causé par un malencontreux incident, ainsi que le départ de sa sœur sans qu’il puisse être à ses côtés, ravivent en Moredo de douloureux souvenirs. À peine a-t-il posé les pieds à Lys qu’il reprend déjà la route pour rejoindre sa sœur, à laquelle il tient particulièrement. Peyredragon l’attend, tout comme sa sœur, et si les intentions de son père lui échappent encore, il sait que Lysara et lui feront en sorte de les mener à bien.


    Avantages / Défauts

    Combattant accompli : Il est plus simple d’exceller dans une pratique lorsqu’on est passionné par cette dernière. Outre l'affinité évidente qu'il a pour ce domaine, depuis son enfance, Moredo s'est intéressé aux différents types de combat, notamment ceux à l'épée. Grâce à son statut, il a pu bénéficier d’enseignants qualifiés, mais c'est surtout aux côtés de son oncle Drazenko et de son grand-père maternel qu'il a véritablement affiné ses connaissances. Le conflit des Degrés lui a permis de mettre en pratique ses entraînements, qui ont su porter leurs fruits, et de se faire un nom.

    Maîtrise des arts de la guerre : Si son père trouve refuge dans les parties d'échecs humaines, le Lysien n'est pas si différent de lui. Ce sont les variables dans leurs arts qui s'entrechoquent, puisque Moredo doit autant déplacer les pions qu'être actif sur le terrain. Le plateau et ses joueurs changent aussi de forme, composé de bannerets, de soldats, de chevaux… qui doivent être guidés pour obtenir la victoire. Loin des mariages politiques et des manigances sournoises pour gagner du terrain, ici ce sont les armes et la force qui s’expriment. Néanmoins, l'un et l'autre se complètent, il le sait, bien qu'il ait moins d'affinité et de talent pour les jeux que son père favorise.

    Charmeur : Les mots roulent avec aisance sur sa langue. C’est toujours un plaisir de l’entendre, surtout lorsqu’il dit d'aussi belles choses. On ressent que ses paroles sont minutieusement choisies et dites pour atteindre un certain but, mais cela ne diminue en rien leur charme et ne va point dans le trop plus. L'éducation que lui a prodiguée son père a porté ses fruits sur ce point, puisqu’elle lui permet de manier les mots avec dextérité, bien qu’il s'en serve généralement pour séduire les demoiselles qui lui plaisent plutôt que pour gagner les bonnes grâces de son entourage.

    Mauvais perdant : Ce sentiment que la défaite provoque en lui, cette sensation impuissance… Ce n'est ni plaisant ni quelque chose qu'il apprécie particulièrement. Être le gagnant, c'est garder le contrôle, dicter les règles des prochaines parties. C'est le manque de contrôle que la défaite apporte qu'il abhorre réellement, sans en être conscient.

    Orgueilleux : blablabla
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    Moredo Rogare
    Moredo Rogare
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    Âge du Personnage : 25 ans.
    Messages : 3

    Histoire / Test RP

    Ecrire ici votre histoire. Vous avez la possibilité de demander un test RP plutôt que d'écrire une histoire. Merci d'en faire la demande ici.


    Qui es-tu derrière ton écran ?


    ♛ Pseudo 'titi (ou Dami pour les intimes :B). ♛ Age La vingtaine est déjà bien entamée. ♛ Pays / région France. ♛ Comment as-tu connu le forum ? Grâce à une de vos membres, la splendide @Aegon II Targaryen <3. ♛ Un petit mot ou une petite dédicace pour finir ? Merci à @Lysara Rogare de m'avoir laissé tenter son incroyable scénario !


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    Mors Noirmont
    Mors Noirmont
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    (moredo) who carries a mighty sword O_1gvk825j61ccn1b02ia35hsun813
    Âge du Personnage : 36 ans
    Messages : 37
    Dragons d'Or : 46
    Bienvenue !

    Lys se peuple, ça fait plaisir 3847077298
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    Alicent Hightower
    Alicent Hightower
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    (moredo) who carries a mighty sword C47bda4a7bbdaf7e7aa4d11f213c9ddd23f7346f
    Âge du Personnage : 43 ans
    Messages : 215
    Dragons d'Or : 1330
    Bienvenueeee !!!
    Bon courage pour le reste de ta fiche !
    La Belle de Lys
    Lysara Rogare
    Lysara Rogare
    La Belle de Lys
    (moredo) who carries a mighty sword WFUDQaaN_o
    Âge du Personnage : 19 ans
    Messages : 633
    Dragons d'Or : 1662
    LE FRANGIN PRÉF' 5780
    (si on a un Roggerio qui passe par là un jour, cœur sur lui aussi Razz)

    Bienvenue officiellement tout plein parmi nous 404323601
    Tu sais déjà où me trouver, si jamais Cool
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    Rhaenyra Targaryen
    Rhaenyra Targaryen
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    Âge du Personnage : 36 ans
    Messages : 366
    Dragons d'Or : 1184
    Oh mais quelle bonne surprise !
    Bienvenue à toi sur notre forum I love you
    Bon courage pour la fichette mais je crois que ça ira, tu es déjà bien entouré ! Wink
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