Aegon II Targaryen
L'indomptable queue de dragon
Âge du Personnage : Trois cents lunes
Messages : 184
Dragons d'Or : 446
« Une vie sans amour, c'est une vie sans Soleil »
Fainéant. Existe-t-il. Non. Il n'existe pas une journée sans couronne. Il n'existe pas une journée sans conseil. Il n'existe pas une journée sans devoir. Nous ne sommes plus dans un ère de tranquillité, malgré tes prières.La preuve en ces missives. La preuve en tous ses plans. Ces jours de plaisirs te manquaient. Ces jours de festivités te manquaient. À quand un jour heureux. À quand un jour de bonheur, sans peur. Nous sommes loin de l'époque de ton arrière-grand-père. Et malheureusement, tu allais devoir régner dans une ambiance de chaos. Et profiter ainsi que savourer chaque instant qui te donne envie de vivre. Comme ce moment présent, dans ta chambre en face du foyer, tu étais assis sur un tapis entouré de jouets d'enfants divers. Des jouets qui allait dans l'intérêt de chacun de tes enfants. En compagnie d'eux, tu laissais du temps à ton épouse pour se balader avec Dreamfyre, sa dragonne. Ce qui ferait plaisir ! Même si une promenade familiale te tenterait aussi. Dégourdir les ailes. Dégourdir vos cœurs ferait du bien. Tu laissais aussi du répit aux autres mères parce que tout le monde le savait, tu t'aventurais hors du lit conjugal et ton bijou royal brillait dans sa fertilité ardeuse dans les rues de dentelles, et même dans les murs de ton château. Pourtant, tu n'avais que des sentiments d'amour pour ton épouse. Ce côté-là, était le plus complexe de ta personne. Mais ce sujet n'est pas le centre de ce sujet. En repos, un ordre que tu avais imposé, donnant ainsi du temps libre à tes servantes. Mais si elles n'étaient jamais bien loin au cas où. Au cas, où que tu ne serais pas géré toute ton armée. Toute ta progéniture. Toi père aimant pour celle-ci , mais père qui manquait d'expérience dans les tâches, un peu moins le fun les concernant. Laissant cette tâche aux mères et aux nourrices, car tu avais encore une personnalité enfantine.
Dans ta chambre avec tes fils et filles, enfants royaux et bâtards jouant ensemble. Même s'il en manquait deux, vivant ailleurs. Mais prenant souvent des nouvelles. Tu voulais aucunement les négligés, comme Viserys l'avait fait avec toi. Ce qui pourrait choquer ceux qui ne cesseront jamais de vous juger et surtout de te juger. Un comportement d'autrui qui te déplaisait. Un comportement qui te rendait malheureux, car tu ne pouvais être celui que tu étais. Tu ne pouvais pas faire ce que tu désirais. Tu devais toujours penser à ta réputation. Donc tu savais que tu pourrais jamais avoir ce comportement en public. Alors tu étais ce père souhaité en privé. Porte fermée. Toujours dans son rôle de chevalier, Ser Criston Cole devant celle-ci. Entouré, tu avais les jumeaux. Tes inséparables en train de jouer côte à côté à leurs jeux préférés. Ton héritier Jaehaerys, jouait aux billes. Sa jumelle, Jaehaera prenait le thé avec ses poupées. Gaemon, lui s'amusait avec les figurines dragons dont celle que tu avais eu étant petit, et que tu gardais dans ta chambre après tes moments avec tes enfants. En souvenir de ton enfance. Ton bébé calin qui était le dernier de la fratrie avec ton épouse. Mais envie secrète, tu ne dirais pas non pour prolonger encore ton sang. Ton but serait, il faire concurrence à ton arrière grand-père ? Même, tu étais plus du même moule d'un certain Rogare. Ne cherchez pas de raisons. Tu avais plein de raisons de vouloir un autre enfant avec ton épouse. Maelor toujours en compagnie de son oeuf de Dragon, faisait une sieste contre toi. Tu l'avais recouvert de ton jeté de fauteuil. Au chaud contre toi, créant un lien avec son père, mais aussi avec son dragon. Un œuf provenait d'une portée de Dreamfyre. Un œuf qui deviendrait aux teintes serpentines vu sa couleur. Main sur ta tête, tu caressais tendrement sa crinière ondulée. Un trait qui ne pouvait pas tromper, que cet enfant était le tien. Et de toute manière, tu ne douterais jamais de la fidélité de ton épouse. Elle était l'incarnation de la mère et la Jouvencelle, en la même personne. Savourant ce moment avec tes enfants, c'était dans ce genre de moment que tu étais heureux. C'était ce genre d'utopie que tu aurais souhaité vivre avec tes parents et ta fratrie. Mais tu pouvais dire à tes parents, surtout ton père absent et qui favorisant ta sœur, ses enfants. Tu avais un modèle à ne pas suivre pour ta famille. Celle que tu avais créée.
Alors que l'ambiance était calme, contrairement à ta fratrie, contrairement a toi, tes enfants n'étaient pas les plus turbulents. La porte s'ouvrait avec un mot de Ser Criston: Votre Grâce, Mestre Orwyle est là. Sous une expression exagérée, un air que ton chevalier connaissait que trop bien. Lui, il te considérait comme un fils. Lui qu'il t'avait élevé comme le sien en l'absence de ton père. Il savait que tu lui donnais la permission de faire franchir le seuil de ta porte à ta visite. Laissant la porte ouverte, tu t'adressais aux deux hommes - Sir Criston veuillez fermer la porte, les bruits de couloirs pourraient réveiller les enfants. Les enfants ! En effet, non Loin de toi, se trouvait un panier en rosier, dans des draps et enroulé dans une couverture, un nourrisson s'y trouvait. Fille ou garçon, on ne pouvait pas distinguer, mais toi, tu savais qu'il s'agissait d'une fillette. La benjamine de tes filles. Sous les bruits de la visite, elle remuait le nez. Porte refermée, tu t'adressais au mestre: que me vaut votre visite cher Mestre , un nouveau corbeau de cette putain ? Quand tu pensais à ta demie soeur, ta vulgarité s'échappait de toi, que tu en oubliais ton langage courtois, et bourgeois. Ton magnifique vocabulaire de charmeur. Mal à l'aise le mestre te tentait une missive du sceau de la famille Rogare. Avec toi, il était prudent sachant que tu avais la fibre émotionnel fragile. - Non mon seigneur. Il s'agit de la famille Rogare de Lys. Ce parchemin était important pour ta cause, ta famille et toi. Elle avait un lien avec ton alliance avec la Triarchie. Tu avais donné ton accord pour que ta mère entretienne des missives avec cette famille. Cette lettre, tu devais la lire, mais elle tombait dans un moment, ou tu étais occupé. Et occupé de la plus belle de manière. Tu avais envie de dire à ton Mestre de la mettre sur le coin de ta commode là où la politique allait contrairement à tes lettres intimes que tu gardais précieusement dans une cachette avec tes portraits coquins. Les ancêtres des magazines pornographiques. Contrairement à ton sang Hightower, tu n'étais pas aussi organisé et à l'ordre. Mais vu que l'inconnu te rendait curieux. Mais vu que l'étranger te terrifiait, tu tentais la main pour la lettre, vu que tu étais dans une position délicate qui t'empêchait de bouger. Et tu ne voulais pas perdre le contact avec ton fils. Le mestre te donnait la lettre et d'un signe de main, tu lui faisais comprendre qu'il pouvait disposer te laissant seul et intime avec le papier.
Brisant le sceau, tu le déroulais et lisais le contenu. Une longue lettre signée d'un magnifique prénom. Un prénom exotique. Un prénom précieux. Une lettre et un accueil que tu allais devoir discuté avec les tiens, mais en toute intimité avec ta mère et ton grand-père. Mais pour le moment, tu avais juste envie de donner ton temps à tes petits. D'être le père et pas le Seigneur de Peyedragon. Glissant le parchemin à ta ceinture, tu te levais prenant Maelor toujours endormi dans tes bras, pour venir le déposer dans ton lit. Puis tu revenais en ton petit salon en tapant des mains pour avoir leur attention. Ne demandant pas de ranger leurs jouets. - Venez les enfants. Aller dans le lit sans réveiller Maelor. Je vais vous raconter une histoire. Obéissant, Jaehaerys se levait le premier attrapait le bras de Gaemon l'entraînait avec lui. Prenant le panier avec le bébé dans une main, tu t'approchais de ta Princesse. Ayant des traits de personnalité avec Helaena, elle était souvent sa bulle. Tu t'étais souvent demandée si elle n'avait pas hérité de ce que tu sais aujour d'hui le don de rêveur. Et que tu as souvent vu comme de la bizarrerie dans ton adolescence. Fille réservée, tu te penchais vers elle , pour pénétrer dans son espace. - Ma Princesse vient, apporte une poupée. Levant la tête vers toi, elle prenait une poupée et se levait pour se joindre à la fratrie masculine.
Moment d'histoire , une histoire exprimée de manière théâtrale. Tu leur racontais une histoire d'ailleurs. Une histoire qui t'avait captivé dans les cours d'histoire quand tu ne dormais pas ou que tu fuyais tes leçons avec les mestres. Tu leur racontais une partie de l'histoire du grand empire de l'aube. Tu leur parlais de ton personnage préféré l'empereur de Jaspe de sang. Cet empereur qui avait renversé et tué sa sœur. Une histoire peut-être un peu trop terrifiant pour des enfants. Mais certains parents racontent des histoires pires que celle-là comme celle des marcheurs blancs. Mais tous finissaient par s'endormir sauf la petite dernière qui se réveillait en pleurait pour une raison que tu allais devoir gérer. Au même moment, la porte s'ouvrait sur la présence de ta mère sans que tu y prêtes attention.
Dans ta chambre avec tes fils et filles, enfants royaux et bâtards jouant ensemble. Même s'il en manquait deux, vivant ailleurs. Mais prenant souvent des nouvelles. Tu voulais aucunement les négligés, comme Viserys l'avait fait avec toi. Ce qui pourrait choquer ceux qui ne cesseront jamais de vous juger et surtout de te juger. Un comportement d'autrui qui te déplaisait. Un comportement qui te rendait malheureux, car tu ne pouvais être celui que tu étais. Tu ne pouvais pas faire ce que tu désirais. Tu devais toujours penser à ta réputation. Donc tu savais que tu pourrais jamais avoir ce comportement en public. Alors tu étais ce père souhaité en privé. Porte fermée. Toujours dans son rôle de chevalier, Ser Criston Cole devant celle-ci. Entouré, tu avais les jumeaux. Tes inséparables en train de jouer côte à côté à leurs jeux préférés. Ton héritier Jaehaerys, jouait aux billes. Sa jumelle, Jaehaera prenait le thé avec ses poupées. Gaemon, lui s'amusait avec les figurines dragons dont celle que tu avais eu étant petit, et que tu gardais dans ta chambre après tes moments avec tes enfants. En souvenir de ton enfance. Ton bébé calin qui était le dernier de la fratrie avec ton épouse. Mais envie secrète, tu ne dirais pas non pour prolonger encore ton sang. Ton but serait, il faire concurrence à ton arrière grand-père ? Même, tu étais plus du même moule d'un certain Rogare. Ne cherchez pas de raisons. Tu avais plein de raisons de vouloir un autre enfant avec ton épouse. Maelor toujours en compagnie de son oeuf de Dragon, faisait une sieste contre toi. Tu l'avais recouvert de ton jeté de fauteuil. Au chaud contre toi, créant un lien avec son père, mais aussi avec son dragon. Un œuf provenait d'une portée de Dreamfyre. Un œuf qui deviendrait aux teintes serpentines vu sa couleur. Main sur ta tête, tu caressais tendrement sa crinière ondulée. Un trait qui ne pouvait pas tromper, que cet enfant était le tien. Et de toute manière, tu ne douterais jamais de la fidélité de ton épouse. Elle était l'incarnation de la mère et la Jouvencelle, en la même personne. Savourant ce moment avec tes enfants, c'était dans ce genre de moment que tu étais heureux. C'était ce genre d'utopie que tu aurais souhaité vivre avec tes parents et ta fratrie. Mais tu pouvais dire à tes parents, surtout ton père absent et qui favorisant ta sœur, ses enfants. Tu avais un modèle à ne pas suivre pour ta famille. Celle que tu avais créée.
Alors que l'ambiance était calme, contrairement à ta fratrie, contrairement a toi, tes enfants n'étaient pas les plus turbulents. La porte s'ouvrait avec un mot de Ser Criston: Votre Grâce, Mestre Orwyle est là. Sous une expression exagérée, un air que ton chevalier connaissait que trop bien. Lui, il te considérait comme un fils. Lui qu'il t'avait élevé comme le sien en l'absence de ton père. Il savait que tu lui donnais la permission de faire franchir le seuil de ta porte à ta visite. Laissant la porte ouverte, tu t'adressais aux deux hommes - Sir Criston veuillez fermer la porte, les bruits de couloirs pourraient réveiller les enfants. Les enfants ! En effet, non Loin de toi, se trouvait un panier en rosier, dans des draps et enroulé dans une couverture, un nourrisson s'y trouvait. Fille ou garçon, on ne pouvait pas distinguer, mais toi, tu savais qu'il s'agissait d'une fillette. La benjamine de tes filles. Sous les bruits de la visite, elle remuait le nez. Porte refermée, tu t'adressais au mestre: que me vaut votre visite cher Mestre , un nouveau corbeau de cette putain ? Quand tu pensais à ta demie soeur, ta vulgarité s'échappait de toi, que tu en oubliais ton langage courtois, et bourgeois. Ton magnifique vocabulaire de charmeur. Mal à l'aise le mestre te tentait une missive du sceau de la famille Rogare. Avec toi, il était prudent sachant que tu avais la fibre émotionnel fragile. - Non mon seigneur. Il s'agit de la famille Rogare de Lys. Ce parchemin était important pour ta cause, ta famille et toi. Elle avait un lien avec ton alliance avec la Triarchie. Tu avais donné ton accord pour que ta mère entretienne des missives avec cette famille. Cette lettre, tu devais la lire, mais elle tombait dans un moment, ou tu étais occupé. Et occupé de la plus belle de manière. Tu avais envie de dire à ton Mestre de la mettre sur le coin de ta commode là où la politique allait contrairement à tes lettres intimes que tu gardais précieusement dans une cachette avec tes portraits coquins. Les ancêtres des magazines pornographiques. Contrairement à ton sang Hightower, tu n'étais pas aussi organisé et à l'ordre. Mais vu que l'inconnu te rendait curieux. Mais vu que l'étranger te terrifiait, tu tentais la main pour la lettre, vu que tu étais dans une position délicate qui t'empêchait de bouger. Et tu ne voulais pas perdre le contact avec ton fils. Le mestre te donnait la lettre et d'un signe de main, tu lui faisais comprendre qu'il pouvait disposer te laissant seul et intime avec le papier.
Brisant le sceau, tu le déroulais et lisais le contenu. Une longue lettre signée d'un magnifique prénom. Un prénom exotique. Un prénom précieux. Une lettre et un accueil que tu allais devoir discuté avec les tiens, mais en toute intimité avec ta mère et ton grand-père. Mais pour le moment, tu avais juste envie de donner ton temps à tes petits. D'être le père et pas le Seigneur de Peyedragon. Glissant le parchemin à ta ceinture, tu te levais prenant Maelor toujours endormi dans tes bras, pour venir le déposer dans ton lit. Puis tu revenais en ton petit salon en tapant des mains pour avoir leur attention. Ne demandant pas de ranger leurs jouets. - Venez les enfants. Aller dans le lit sans réveiller Maelor. Je vais vous raconter une histoire. Obéissant, Jaehaerys se levait le premier attrapait le bras de Gaemon l'entraînait avec lui. Prenant le panier avec le bébé dans une main, tu t'approchais de ta Princesse. Ayant des traits de personnalité avec Helaena, elle était souvent sa bulle. Tu t'étais souvent demandée si elle n'avait pas hérité de ce que tu sais aujour d'hui le don de rêveur. Et que tu as souvent vu comme de la bizarrerie dans ton adolescence. Fille réservée, tu te penchais vers elle , pour pénétrer dans son espace. - Ma Princesse vient, apporte une poupée. Levant la tête vers toi, elle prenait une poupée et se levait pour se joindre à la fratrie masculine.
Moment d'histoire , une histoire exprimée de manière théâtrale. Tu leur racontais une histoire d'ailleurs. Une histoire qui t'avait captivé dans les cours d'histoire quand tu ne dormais pas ou que tu fuyais tes leçons avec les mestres. Tu leur racontais une partie de l'histoire du grand empire de l'aube. Tu leur parlais de ton personnage préféré l'empereur de Jaspe de sang. Cet empereur qui avait renversé et tué sa sœur. Une histoire peut-être un peu trop terrifiant pour des enfants. Mais certains parents racontent des histoires pires que celle-là comme celle des marcheurs blancs. Mais tous finissaient par s'endormir sauf la petite dernière qui se réveillait en pleurait pour une raison que tu allais devoir gérer. Au même moment, la porte s'ouvrait sur la présence de ta mère sans que tu y prêtes attention.
code par Sholarimas
Lun 21 Oct 2024 - 15:44